Les drogues possèdent de multiples actions sur l'organisme. Ces actions peuvent aller de la simple bouffée de chaleur, à la mort.
La morphine, est une drogue synthétique apparentée à l’opium. Elle a tout d'abord été utilisée à des fins thérapeutiques pour atténuer la douleur tel un analgésiant dénué du mécanisme de dépendance. Concrètement, elle soulage les douleurs sourdes et diffuses telles que les brûlures, les entorses, les douleurs articulaires… On l'utilise pour ses effets psychotropes. Malencontreusement, une dépendance est engendrée par tous les opioïdes efficaces comme analgésiques : c’est la morphinomanie. Elle est provoquée suite à une injection trop importante ou une consommation régulière de morphine. Le mécanisme de dépendance à l’intérieur de l’organisme est alors déclenché. (Voire le mécanisme de dépendance)
La morphine agit d’une manière néfaste sur l’organisme qui est traduit par de nouveaux symptômes :
A la différence de la morphine, l’héroïne est illégale, donc lorsque le consommateur se l’injecte, il se drogue intentionnellement. Les effets physiologiques de l'héroïne sont analogues à ceux de la morphine mais sont plus offensifs. De la même manière que la morphinomanie, l’héroïne engendre une dépendance importante, qui est engendrée par la nécessité d’augmenter les doses pour se satisfaire et un syndrome de sevrage intense en cas d'arrêt brutal. (Voire la dopamine et le circuit de récompense ou dépendance).
Les effets physiologiques recherchés par l’héroïnomane sont :
Cependant, de nombreux autres symptômes se développent en parallèle. On retrouve les mêmes effets que la morphine avec en plus: